La
meilleure journée de la semaine ayant été annoncée pour ce
mercredi, j’ai donc décidé d’aller rouler un peu.
Effectivement,
même si le vent d’Ouest soufflait "plus qu’un peu",
mais chez moi, vous le savez, c’est commun, et c’est pour ça que
les éoliennes ont poussé comme des champignons dans mon département
(peut-être la plus forte concentration nationale), il faisait très
beau et les T° étaient à mon goût.
J’ai
donc adapté mon parcours, qui sera orienté plutôt Est et Sud, pour
profiter d’un vent favorable le plus souvent et longtemps possible. Et donc, c’est en direction des
Mothées que je suis parti. Un petit tour "singles" :
celui des Erables, en passant au-dessus du terrain de cross, puis la
boucle complète dans le single du bois des Renards, en commençant
pour un bout de celui des Ruches, accompagné par le chant des oiseaux. Mon passage dans les singles du
spot se résumera donc qu’à cela. Just for Fun 😉!
Je
vais contourner la Sapinière, puis je me retrouverai au milieu des
éoliennes de la vallée de la Moivre [1]. Point de passage suivant, le
lieu-dit du "Trou des Loups". Grosse descente (vitesse max
à plus de 50 km/h) suivie d’une grosse remontée 😣. Le GPS va
m’indiquer entre 12 et 16 % de pente [2]. Mais comme souvent,
j’adapte mon effort à la difficulté sans aller au-delà de mes
capacités. Savoir se ménager pour durer 😏 !
J’attaque une nouvelle descente, la ferme de Mentarah est sur ma droite, le compteur dépasse les 55 km/h ! Ca siffle dans les oreilles 😎. Puis après avoir passé la ferme, je prends la direction des éoliennes au-dessus de la Cense des Prés [3]. Sorti d’un champ, un gros lièvre pousse une accélération devant moi. Même en côte, il dépote 😲 !! Une fois sur la ligne de crêtes, je vais descendre le beau vallon de Brunelle [4], coloré en jaune par un champ de colza, odorant, qui couvre le vallon de bout en bout. Je ne résiste pas à une pause photo !
Certains arbustes du bois qui borde le chemin sont en fleurs et exhalent un doux parfum qui ressemble à celui des giroflées. C’est agréable pour les narines. Il en était de même pour les peupliers qui embaumaient l’air de leur odeur printanière.
J’attaque une nouvelle descente, la ferme de Mentarah est sur ma droite, le compteur dépasse les 55 km/h ! Ca siffle dans les oreilles 😎. Puis après avoir passé la ferme, je prends la direction des éoliennes au-dessus de la Cense des Prés [3]. Sorti d’un champ, un gros lièvre pousse une accélération devant moi. Même en côte, il dépote 😲 !! Une fois sur la ligne de crêtes, je vais descendre le beau vallon de Brunelle [4], coloré en jaune par un champ de colza, odorant, qui couvre le vallon de bout en bout. Je ne résiste pas à une pause photo !
Certains arbustes du bois qui borde le chemin sont en fleurs et exhalent un doux parfum qui ressemble à celui des giroflées. C’est agréable pour les narines. Il en était de même pour les peupliers qui embaumaient l’air de leur odeur printanière.
Pour
ressortir de ce vallon, pas le choix, il y a un bon "raidart"
qui m’attend. Ca monte bien dès le départ, maxi à 18 % puis
entre 10 et 14 %. J’arrive en haut, sur le VTT ! Content d’être passé [5].
Nouvelle
belle descente, le compteur flirte encore avec les 50 km/h. Je suis
sur la droite des bois du Rû de Coulvagny, et je me retrouve alors
tout au bout du fond du vallon de la Côme Michault [6].
A
partir de là, je vais avoir le vent de face. Heureusement le gros
des difficultés est passé. Je sors du vallon, le vent souffle, ça
tire sur les jambes. Je domine le paysage marnais en direction du
Sud.
Ensuite, c’est une longue descente qui m’attend pour entrer dans le village d’Aulnay l’Aitre. Mais il faut quand même bien pédaler. J’irai chercher alors le GR14 jusqu’à la Chaussée, puis un bout de chemin de halage et de nouveau le GR14 jusqu’au stade de Pogny. Cette dernière partie va être la plus dure, car non seulement je suis exposé au vent, mais en plus le chemin est bien grévé, l’effort sur les pédales est donc d’autant plus important. Je préférais encore mes côtes d’avant !
Ensuite, c’est une longue descente qui m’attend pour entrer dans le village d’Aulnay l’Aitre. Mais il faut quand même bien pédaler. J’irai chercher alors le GR14 jusqu’à la Chaussée, puis un bout de chemin de halage et de nouveau le GR14 jusqu’au stade de Pogny. Cette dernière partie va être la plus dure, car non seulement je suis exposé au vent, mais en plus le chemin est bien grévé, l’effort sur les pédales est donc d’autant plus important. Je préférais encore mes côtes d’avant !
Je
finirai mon parcours par un passage par les chemins au milieu des
pâtures et je déboucherai au pont de la Marne, à l’entrée de
Pogny.
Moins de 2h de temps roulé, 34.2 km parcours et 430 m de D+. Un bon parcours, comme je sais les apprécier.
Hormis
sur certaines parties au cause du vent, mais les conditions pour
rouler étaient, ce soir, optimales. Je me sentais bien. Il me reste
à envisager maintenant des parcours un peu plus longs.
Et dans le jardin, toute la nature nous rappelle que le Printemps est bien là !
Et dans le jardin, toute la nature nous rappelle que le Printemps est bien là !
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