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samedi 29 août 2020

Long parcours avec une bonne moyenne (malgré le vent)

  Même si les températures baissent peu à peu, elles restent bien agréables. Finies les grosses chaleurs d’il n’y a pas si longtemps que ça. Mais c’est aussi bien.

  Mais ce qui commence à devenir lassant c’est qu’il y a peu de journées durant lesquelles le vent ne souffle pas. Encore ce samedi après-midi, il était soutenu, orienté SW. Alors les sorties VTT sont parfois usantes pour les jambes, je l’ai encore un peu vécu sur mon parcours.


  J’ai commencé par un peu de singles pour me mettre en jambes, celui côté Marne jusqu’à Vésigneul, puis le GR14 avant d’arriver au passage à niveau de Mairy. Puis j’irai voir les étangs du Saumon de Mairy et je roulerai sur le chemin au-dessus de la voie ferrée pour finir à Sogny aux Moulins.


  Ensuite, ce sera direction la vallée de la Coole que je trouverai à Nuisement (vent de face, ça commence !! ). Je passe sur un pont qui enjambe l’autoroute A26. Ca roule bien dans le sens des retours, on voit que les vacances d’été touchent (déjà) à leur fin. 




  Je coupe juste après la route Châlons/Troyes que je vais suivre par un chemin parallèle durant plusieurs kms.




  C’est sur cette partie que je vais le plus le ressentir dans les jambes : faux plat montant sur de la grève épaisse. Je vais quitter la grande route au niveau de la ferme des Longains.



  En regardant vers l’Est, je peux voir le gros dépôt d’essence de Vatry qui ravitaille les stations du secteur en carburant. Point stratégique !!!


  Je continuerai à rouler avec le vent de face jusqu’au village de Vatry. Derrière le village, au loin, il y avait la tour de contrôle de l’aéroport de Vatry distant de quelques kms.





 Je retraverse la route de Troyes, puis la voie ferrée (par en-dessous, seul pont supérieur du coin).


  A partir de là, j’aurai le vent quasiment en permanence dans le dos et ce, jusqu’à la maison. Je traverserai les divers parcs éoliens qui parsèment le paysage pour arriver à Togny aux Boeufs et je ferai le final de mon parcours par les pâtures.


  La dénivelée sur ce parcours n’était pas des plus élevées. Normal vu là où je suis allé rouler. Ce n’est pas le coin où ça monte le plus. Le vent a remplacé, encore une fois, ce petit dénivelé. Mais je préfère malgré tout les grimpettes au vent qui soufflait comme aujourd’hui. Un peu mal aux jambes à l’arrivée, mais douleur effacée peu de temps après mon retour. Finalement, j'aurai quand même tenu une bonne moyenne, au regard de la distance parcourue.

Bonne semaine de sport : 13h entre marche et VTT !
correction du 30/8/20 : 15h de sport, au final !!!
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RV(tt) - le 29/08/2020 

    


vendredi 28 août 2020

Chemins et singles au retour

  Même si le temps a fini par se couvrir en début de soirée, lorsque je suis parti rouler, le ciel était bleu, il faisait encore chaud et le vent soufflait orienté SW, moins fort que Mardi, mais soufflait encore pas mal.

  Alors, je suis parti vers le N/NE, pour ne pas subir ce vent comme lors de ma sortie précédente.

  J'ai pris la direction des carrières Omya de Vésigneul puis de St Germain avant de rallier les arrières de Marson. Je traverse la route Marson/Longevas, puis je vais arriver le long des bois de Sarizet. Grosse vitesse dans la descente (+ de 54km/h), puis je me trouverai au niveau de la pointe du bois du Vau Sardus avant de retraverser la même route que peu de temps avant. Après qques détours en revenant face au vent (les rafales à plus de 30 km/h se sentaient bien), j’arrive au niveau de la fin de la déviation de Chepy, je traverse Moncetz, avant de me retrouver au canal.


  Plutôt que de prendre le chemin de halage, je récupère le GR14, puis juste avant le pont de Chepy vers lequel je reviens, j’entre dans le single Chepy/St Germain. Et même s’il n’est pas long, je roulerai aussi dans la 2e partie, qui longe le chemin de halage. Il y avait bien longtemps que je ne les avais pas pris dans ce sens. Avec la végétation dense des arbres, il faisait parfois sombre et j’ai dû faire attention à certains endroits à cause des racines et retrouver mes marques.


  Un peu après l’écluse de St Germain, j’entre cette fois dans le single qui finit au pont de Vésigneul. Pas facile, entre les arbres très rapprochés et des virages pas évidents à négocier, il y a peu de zones qui permettent de se lâcher.

  Je passe sur l’autre côté du canal pour finir mon parcours par le single entre la Moivre et le canal. Habituellement, c’est à pied que je le prends lorsqu’on va marcher avec Christelle.

  Une petite sortie plutôt sympa avec un peu de pilotage dans les singles, ça change de mes grandes balades au milieu de la campagne marnaise.

  Pas de photos durant mon parcours, à part les champs déchaumés et ceux de betteraves, il n’y avait rien ce soir pour m’inspirer !!! 

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RV(tt) - le 28 août 2020 

  


mercredi 26 août 2020

Petit parcours, pas si tranquille que ça !!

   Même s’il faisait bien chaud ce mardi, avec un ciel un peu nuageux, il y avait encore un vent terrible orienté SW (+ de 50 km/h en rafales, avec des rafales qui ne se calmaient pas souvent).

   J’ai voulu limiter les dégâts sur un parcours "un peu" tranquille : très plat sur la partie aller pour ne pas trop souffrir de ce vent.


   Je suis donc parti dans la vallée de la Marne, non loin de la rivière la Guenelle, par Cheppes la Prairie et St Martin aux Champs, que je suivrais jusqu’à Pringy. Je la traverserai 4x dont deux via des passerelles métalliques.


   J’avais le vent de 3/4 avant droit, même s’il soufflait fort, les lignes d’arbres non loin sur ma droite, limitait ses effets du moins sur cette partie.

   
  C’est à partir de Pringy que ça va devenir dur et pénible. Les chemins sont exposés au vent. Rien pour se protéger. Toutes les parties face au vent et sur des montées faisaient mal aux jambes et lorsque j’avais le vent de côté, j’avais parfois l’impression que quelqu’un me poussait sur la droite avec force et que je roulais penché. Je relâchais un peu avant d’attaquer les qques descentes pour récupérer. Les éoliennes tournaient plein pot, je pouvais me rendre compte de la force du vent sur les pales qui étaient fort courbées. 

vue sur le parc éolien des Longues Roies

  Des tracteurs déchaumaient et la poussière qu’ils soulevaient restait presque au ras du sol et se diffusait très loin. Et les oiseaux volaient de façon quelque peu désordonnée.


   Peu de répit donc et c’est seulement pour revenir vers Vitry la Ville que je me suis fait, enfin mais trop peu, plaisir. Faux plat légèrement descendant sur un chemin en herbe vent dans le dos, le compteur indiquait entre 30 et 35 km/h, sans trop forcer. Je vais pousser jusqu’à Togny aux Boeufs avec encore le vent de côté, à cramponner mon cintre. Puis après Togny, je reviendrai sur mon village par les pâtures avec le vent favorable jusqu’au bout.


   Même si la distance et le dénivelé auront été limités, à supporter le vent comme aujourd’hui, j’avais mon compte. J’ai l’impression que ça soufflait encore plus fort que lors de ma grande sortie de Samedi dernier. Je ne me souviens pas avoir vécu une saison VTT aussi venteuse que cette année.

   J’espère que le vent va se calmer si je sors Jeudi soir !!
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RV(tt) - le 26 août 2020

 

lundi 24 août 2020

Tour du Lac de Madine

  Sur une idée de Christelle, ce dimanche 23 août, nous avons fait un déplacement dans la Meuse, plus précisément au Lac de Madine. Il y a un parcours qui en fait le tour. Le Lac a été crée en 1970, sur la rivière la Madine et sert, en partie, à alimenter en eau potable la ville de Metz. Il est composé de plusieurs petits étangs séparés par des digues de la partie principale du lac,  c’est une réserve de chasse et de faune sauvage.

  On pose la voiture à Nonsard. Il y a beaucoup de monde sur le parking mais aussi au bord de l’eau. Le lieu est prisé et par les locaux et par les habitants de Meurthe et Moselle, département tout proche.

  Il y a du vent, comme dans la Marne, qu’on aura de face sur un bon quart du parcours. Le ciel est un peu nuageux mais il fait bon. Le circuit commence par un bout de digue puis on entre dans une forêt qui longe pendant un bon moment la rive du lac. 

  Et je commence bien, j’oublie de démarrer mon GPS (je le croyais en mode auto-start !! ). Il nous manquera environ 6,2 km sur la totalité de notre boucle.


  Une fois sortis du bois, nous voyons la Butte de Montsec, butte qu’on voit d’ailleurs de très loin alentour. En effet, elle est dominée par un mémorial militaire érigé par les américains en 1932, pour marquer la coopération franco-américaine durant la Grande Guerre. 


  Géologiquement, c’est une butte témoin qui suit un revers de cuesta, comme le plateau de Langres et la colline des Fourches ou Bergères les Vertus (Sud du massif de la Montagne de Reims) et le Mont Aimé.

  Nous allons donc grimper, depuis le village de Montsec, jusqu’à ce monument : 1,2 km à 6-7 %. On aurait pu appeler cette montée "Monte Sec" !! Le monument est vraiment imposant. On comprend mieux pourquoi il est visible de très loin. 



  C’est effectivement une curiosité. Une fois en haut (à 375m), s’offre un beau panorama sur les côtes de Meuse et sur le lac de Madine.

vue sur les côtes de Meuse


vue sur le lac de Madine

  Puis, avant de reprendre le Tour du Lac, nous allons pousser tout au bout du bois de Gargantua, situé en contrebas de Montsec. Le chemin forestier s’arrête dans une rozelière.


  Demi-tour, et on revient sur Montsec. Ca grimpe jusqu’à l’entrée du village ! 



  En passant par l’arrière de la commune, je fais une petite pause photo de 4 ânes dans un parc. 



  Pendant ce temps, Christelle goûte des mirabelles. C’est la pleine saison de ce fruit, incontournable dans la Meuse. On en ramènera sur le chemin du retour à la maison pour faire qques tartes.

   Après un bout de route, nous récupérons le parcours balisé. Nous avons le vent dans le dos. Ca roule (presque) tout seul.


  Nous alternerons bois et bords de lac et qques digues qui séparent des étangs du lac. Nous croiserons de nombreux cyclistes, cavaliers ou marcheurs tout au long de ce circuit. Il y a beaucoup d’oiseaux, en particulier de grosses populations de cygnes. Nous reviendrons par le port de plaisance et la base nautique puis la plage où il y a encore plus de monde qu'au départ, avant de retourner à la voiture.

avec le vent, l'eau du lac est agitée !!

  Nous aurons passé un bel après-midi, dans un environnement bien vert, vallonné et boisé, très différent de la Marne sur un parcours de presque 30km. Peut-être renouveler un déplacement dans ce département pour une sortie sur les voies vertes par exemple.

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RV(tt) - le 24 août 2020
   


samedi 22 août 2020

Grand circuit, bon dénivelé et ... gros vent !

  Sur le circuit de ce samedi, je savais à peu près ce qui m’attendais en matière de côtes en particulier, compte-tenu des secteurs choisis lorsque j’ai tracé mon parcours sur mon appli web préférée. Mais la variante que j'allais devoir considérer, c’était l’intensité du vent.

  Le temps était correct, le soleil était parfois caché par les nuages, mais il faisait assez chaud, chaleur modérée par un vent très soutenu orienté SW.


  Si durant un peu plus de 30km (soit environ la moitié de ma sortie), je l’aurai en général soit sur mon travers droit ou dans le dos, c’est ensuite que ça va piquer.


  Dès le départ, j’attaque avec une alternance de montées/descentes jusqu’à Aulnay l’Aitre, puis après un bout de GR14, je retournerai vers les bosses, peu après le cimetière de Coulvagny où je vais déjà compléter une de mes gourdes. Je vais arriver à St Amand puis je suivrai toute la ligne d’éoliennes, située sur la ligne de crête et c’est seulement au niveau de la dernière que je vais bifurquer vers ma droite pour me diriger vers Vanault le Châtel. 

  L'Argonne n'est plus très loin et les paysages sont un peu différents. Il y a un peu plus de bois par exemple.

  

  J’arrive dans la commune que je vais traverser pour ensuite longer les vignes du village. Je n’ai pas résisté à l’envie de goûter le raisin (blanc).


 Petits grains mais très sucrés. Après une côte après ce coteau viticole, je vais définitivement changer de direction pour m’orienter vers le SW, et avec quasiment en permanence le vent de face. La météo annonçait des rafales à 50 km/h. J’avais l’impression que le vent soufflait en permanence à cette vitesse. Je grimpe et depuis les points hauts, j’ai vue sur le village de Bussy le Repos et sur la ferme de la Motte Hériton et même bien plus loin, du côté de Noirlieu.



  J’arrive ensuite au bout de la ligne d’éoliennes de Vanault le Châtel puis je vais retrouver la vallée de la Moivre à Dampierre sur Moivre. Les moindres faux-plats montants vent de face ne font pas grimper le compteur au-delà des 10 km/h. Si à l’aller, j’ai passé pas mal de descentes à plus de 50 km/h, sur le retour, même en appuyant sur les pédales, j’avais bien du mal à passer les 25-30 km/h.


  A Dampierre, je remplirai une de mes gourdes, car le vent et la distance m’auront bien desséché le gosier. Avec le complément de Coulvagny et le plein de Dampierre, j’ai dû avaler largement plus de 2 litres. Sans compter ce que j’ai aussi bu en rentrant !!


 Je passe de l’autre côté de la vallée de la Moivre et après Francheville, j’allais pouvoir relâcher un peu lorsque je vais entrer dans les bois de Moivre, bien abrité du vent, par lesquels je finirai mon parcours.

  Encore une sortie sur des lieux différents, parfois que je découvrais, loin de chez moi. Mais aussi une sortie physiquement exigeante, d’une part par le dénivelé mais surtout à cause du vent, au retour. Du coup, je n'ai pas eu souvent de répit dans le pédalage. Heureusement que je ne l’ai pas fait dans l’autre sens. J’aurai alors fini sur les rotules ! J’ai bien fait de le faire ainsi.

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RV(tt) - le 22 août 2020