Jusqu'aux abords du camp de Mailly

  Objectif de cette sortie : pousser jusqu'aux abords du camp de Mailly. Et donc ce sera une sortie longue. La plus longue depuis que j'ai repris le VTT cette année.

  Un parcours foncier, sous le soleil (parfois caché par les nuages), sans vent. Il fera bien chaud et j’ai donc dû bien m’hydrater.

  Je suis parti cap SW. Après un peu de plat entre Marne et Guenelle, ça va un peu grimper pour passer le Mt Crapaud [A] avant d’arriver au-dessus de Faux Vésigneul et rester sur un chemin qui domine la vallée de la Coole jusqu’au village de Coole. Le chemin était ombragé, c’était agréable. 

 Je traverse la Nationale 4. Je vais voir la forêt de Vauhalaise puis les bois du Camp de Mailly. J’ai encore un peu de kms avant d’arriver à la limite du camp.

les bois du camp de Mailly, au fond

  Après un bout de piste en craie, je quitte le chemin agricole pour rester sur l’ancienne voie ferrée Sommesous/Huiron. Si, au départ, elle est praticable, ensuite c’est moins sympa : hautes herbes, orties et de nombreux petits sapins en travers du passage. 

 Sur ma gauche, derrière un rideau d’arbres, il y a la piste goudronnée du camp. Je reste aussi longtemps que possible sur l’ancienne trace de la voie ferrée puis je reprends le chemin agricole. 

l'ancienne voie ferrée en déblai

  Je pousse jusqu’à une ruine. Celle d’un garde-barrière [B] ??? Malgré le temps, elle est toujours debout mais dans un triste état !!!.

  Je reviens sur mes pas, direction Soudé Ste Croix. Une chevrette broute tranquillement le long d’un champ de colza. Elle s’enfuira dès qu’elle me verra.

 J’ai pu aussi voir cavaler de nombreux lièvres dans les champ qui sont en train de lever et qques lapins aux lisières des bois. Je retraverse la RN4, Soudé est donc en vue. 

  Je passe au pied de l’église. C'est l'occasion de refaire le plein de mes gourdes au point de'eau de celle-ci. Il fait soif (j’aurai avalé 2 litres cet après-midi). Ce n’est pas le vent léger qui fera ventilateur ! Direction la vallée de la Coole, je laisse derrière moi au loin le village de Soudé.

  J’arrive sur Coupetz, je remonte la vallée de la Coole. Des moutons sont en mode tondeuse dans un parc à la sortie du village.

 Je passe à côté du captage d'eau [C] sur la voie romaine avant de prendre une bonne partie du chemin dit des 30 journées avant d’arriver à Togny aux Boeufs. Le final sera comme celui de samedi dernier par les pâtures. Il n’y a plus de trace des orages de samedi dernier, les chemins sont bien secs.

un peu de bosses, quand même !

  J’aurai effectué un beau parcours avec des conditions de temps que j’apprécie tout particulièrement. Je prends plaisir à rouler au cap avec des parcours préparés et importer dans mon GPS. Ca me permet, comme aujourd’hui, de rouler sur des nouveaux chemins que je ne connais pas encore. Mais vues les possibilités autour de chez moi, je n’ai pas encore tout arpenté !!! Je vais continuer à en découvrir.,,,

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RV(tt) - le 31 mai 2019

  

Retour maison : bon temps bien sec (ça m'a changé de samedi) !

  Il faisait bon ce mercredi. Le soleil était là, avec qques cumulus et le vent était léger. Je suis donc rentré du boulot en VTT.

  Pour changer de circuit, je suis parti en direction du complexe Agricole situé route de Suippes avant de rejoindre tout d’abord le hameau de Melette puis le village de l’Epine.

  Ensuite les chemins m’amèneront aux abords des bois des Champs Julien. Juste après une grosse descente, je serai au pied de la butte de Montfercault. Il y avait longtemps que je voulais voir le paysage depuis ce petit point haut. Je me suis aperçu que ça grimpait fort pour arriver en haut. Et effectivement, cet endroit est bien un point dominant, même si l’altitude n’atteint pas des sommets ! 

  J’ai appris qu’à cet endroit, on a trouvé des traces d’une habitat gaulois. Le lieu permettait peut-être de part sa position plus élevée de voir au loin afin de se protéger d’arrivées d’indésirables.

  Je quitte Montfercault, puis je vais arriver au pied du marronnier du puits de la Madeleine. 

le marronnier du puits de la Madeleine au loin

 Je traverse partiellement Marson avant de prendre la direction de la carrière de craie au-dessus de Vésigneul. 

les bois du Marsonnet, la déshy de luzerne de Francheville et le massif des Mothées

  Les champs de colza sont défleuris. Les siliques sont bien formées. On peut voir les graines qui grossissent dans les gousses.

  Je rentrerai à la maison par le chemin le long de la RN44 puis le rond-point à l’entrée de mon village.

  Ce parcours m’a permis de tenir une bonne cadence et dans un meilleur contexte que ma sortie (bien humide) de samedi dernier.

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RV(tt) - le 30 mai 2019

       

Parcours pluvieux. Rentré sale et trempé !

  Que dire de mon parcours de ce samedi après-midi ? Qu’il s’annonçait bien : il faisait très beau et bon (on a pu manger dehors). Le soleil brillait, le ciel était bleu et il n’y avait qu’un souffle d’air. Mais ça c’était avant (pour tout savoir, il faut lire la suite).

  J’avais préparé un circuit de plus de 50km qui allait me mener au-delà de Nuisement s/ Coole, non loin de l’aire de repos de la Bardolle sur l’A26.

  Après une première partie en vallée de Marne jusqu’à Sogny aux Moulins, j’allais arriver sur la vallée de la Coole en passant juste à côté de l’aérodrome d’Ecury su Coole. Des planeurs attendaient le câble de traction pour décoller. 

Le ciel côté Châlons avait changé de couleur, il était devenu gris-bleu (en général, signe de pluie d’orage). Vu le peu de vent, je me disais que ce n’était pas pour tout de suite. Presque !!……..

  Je coupe la D977 (qui relie Châlons à Troyes), puis je passe au-dessus de l’autoroute, le ciel passe à des nuances plus sombres. Hum, hum !!!!

  Juste après l’autoroute, le vent se lève, orienté au NW, le ciel est chargé de pluie et je me dis que dans pas longtemps, je vais m’en prendre sur la tête.

le gros nuage de pluie arrive !

  Ca n’a pas raté ! Lorsque je vais repassé la D977 puis l’A26, j’ai droit aux premières gouttes. Avec le vent, les précipitations s’intensifient. Je me mets (un peu) à l’abri durant une dizaine de minutes dans un petit bois de sapins qui borde l’autoroute et je profite d’une très légère accalmie pour me remettre en selle. Ca va me permettre de pousser jusqu’au pont de l’autoroute qui passe au-dessus de la voie ferrée Châlons/Mailly et de deux chemins agricoles pour rester à l’abri de la pluie [A sur la carte].

 Ca tombe fort. Avec la chaleur du sol, une petite brume remonte au contact de l’eau. Je vais rester bloqué à peu près 20 mn à attendre que la pluie cesse.

le temps est bouché !

  Mais la suite sera un peu plus "rock’n roll". En effet, les chemins en craie ont eu vite fait de se gorger d’eau et la craie chez nous, quand elle est mouillée, devient TRÈS glissante. Je me suis fait peur plusieurs fois, à chaque changement de direction. J’ai échappé de peu à la gamelle.

  J’arrive à Breuvery s/ Coole puis je remonte en direction des éoliennes situées aux alentours de la voie romaine (elles se sont tournées au Nord. Le ciel reste bien gris. 

Le VTT est crépi et moi aussi. J’ai les pieds trempés. Les T° ont dégringolé. Avec une fourchette entre 20 et 27 degrés sur les 23 premiers km, elle descendront à 11° au moment de la grosse averse et ne dépasseront pas les 14° jusqu’au retour. Pas agréable quand on est trempé ! Car en plus, il tombera encore des gouttes presque jusqu'à la maison. Le soleil n'ayant pas trouvé utile de revenir réchauffer l'atmosphère.

le graphe des T°

  Après avoir rencontré de nombreux lièvres, lapins et même un renard, dans le secteur des éoliennes de la Voie Romaine, j’aurai la chance de voir une chevrette. Elle broutait le long d’un chemin. Elle m’avait vu mais ne bougeait pas. Je me suis approché petit à petit pour faire qques photos, puis elle décidera de s’en aller dans un champ de luzerne proche.

  Je traverserai Cheppes la Prairie avant de rentrer à la maison par les pâtures. Avant la douche, j’ai nettoyé mon VTT, en triste état, je me suis rincé les jambes, mon casque ainsi que mon maillot, qui n’était pas beau non plus. 

Cette grosse pluie d’orage m’aura un peu gâché cette sortie. Car avec des conditions météo dégradées, le plaisir de rouler n’est plus le même. Je n’avais qu’une hâte, c’était d’être propre et sec. Les prévisions météo n’avait pas annoncé un temps pareil, juste qques gouttes vers 17h !!!! Va falloir qu’ils changent de grenouille !

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RV(tt) - le 25/05/2019

   

Retour boulot avec des T° généreuses

   Mon emploi du temps de cette semaine a fait que ma sortie hebdo 'retour maison' a été décalée d’une journée et du coup, pas de salle de sport. Mais j’étais mieux dehors à aller rouler compte-tenu de la météo.

   En effet, il faisait chaud, presque toutes les éoliennes étaient à l’arrêt et les qques autres tournaient au ralenti. Vraiment un temps idéal pour faire un parcours.

 

   Je le commencerai par les bois de Fontenay (piste piétonne et petits bouts de singles) [1]. L’eau est revenue dans le cours du Mau jusqu’à l’extrémité du bois.

   Puis j’irai récupérer les bois des Terres Notre-Dame [2]. Un lièvre a couru devant moi et voulait rentrer dans le bois, malgré le petit grillage installé en lisière. Grillage qui ne semble pas servir à grand-chose car j’ai vu le lièvre escalader ce grillage pour entrer dans le bois !

  Ensuite, j’irai rejoindre les abords du bois de la Noue [3]. J’avais Marson en vue. Je ferai plusieurs descentes à bonne vitesse. Je vais contourner le village, longer le stade avant d’arriver aux bois du Marsonnet [4]. Par endroit les champs d’escourgeon commencent à passer du vert à un léger blond. Le soleil va le faire mûrir plus rapidement maintenant. 

   J’entre dans le premier single qui débouche à la compression de Fontaine-Bénite. Le Marsonnet est toujours à sec (l’an dernier il coulait à cette époque). Puis je continuerai mon circuit dans le bois pour finir par la montée en dévers dans les Sapins.

    J’arrive à Francheville, puis direction les Mothées [5]. J’évite la Sapinière et je fais un circuit partiel (et à l’envers) du single du bois des Renards. Je ferai un tour dans la partie centrale des traces (single du Plateau en partiel aussi) avant de sortir du spot et de revenir vers Omey par le chemin en herbe qui finit au-dessus de la RN44. Je traverse Omey et je reviendrai à la maison par le chemin de halage. 

  Le thermomètre ne descendra pas beaucoup sur cette fin de parcours et j’aurai roulé avec des T° généreuses sur toute ma sortie. C’était bien agréable ! J’aurai même pris un peu de bronzage sur les jambes !!

 J’aurai fait un kilométrage raisonnable mais avec un peu de singles. En attentant, normalement, un parcours long samedi après-midi.

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RV(tt) - le 24 mai 2019