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lundi 31 juillet 2017

Reprise des habitudes locales

 Finies les pinèdes, finis le chant des cigales, le sable et l’Océan. Retour dans la Marne. Les vacances sont terminées.

 Il me reste quand même encore une semaine à passer à la maison.
Le temps du week-end pour me remettre du voyage retour et ce Lundi matin, je renouais avec les chemins de la Champagne Crayeuse. Je reprenais donc mes habitudes locales.

 Un parcours qui ira du Mont Faverger (les Mothées) au Mont Jouy au-dessus de Soulanges.



 Il faisait chaud, parfois lourd, même si le ciel était régulièrement ennuagé.



 J’ai d’abord pris la direction du spot des Mothées. Une semaine sans single, je me devais de refaire un peu de technique. J’ai fait un circuit pas tout à fait complet (je reprendrais les parties non faites une prochaine fois. Mais j’ai pris plaisir à retrouver tout ce secteur de singles.


 Après avoir tourné pendant environ 1/2h sur le spot, j’ai quitté le lieux pour me retrouver au Moulin de la Chaussée , puis la grimpette le long de la RN44. Je vais ensuite me retrouver au-dessus du Vallon de Bel-Air mais au niveau de la trace du haut avant de prendre le chemin qui descend dans le vallon. Au niveau de la ferme avant Soulanges, j’ai décidé d’aller chercher le chemin qui arrive au Mont Jouy. J’avais parcouru 28 km et déjà cumulé 429m de D+.



 Du point haut, on a une vue panoramique sur la vallée de la Marne, les silos de la Malterie de Pringy et sur bien plus loin, comme la forêt de Vauhalaise ou les éoliennes de la RN4.




 Descente à bonne allure derrière le lotissement de Soulanges. Grisant, à plus de 50 km/h.

 Une fois sorti du village je vais faire le retour maison par le chemin de halage. Il y avait du trafic sur le canal, j’ai rencontré pas moins de 7 bateaux de plaisance, français, luxembourgeois et allemands. J’ai même croisé le long du canal une roulotte tirée par un cheval. 





L’occasion de faire quelques photos. J’ai même pris le temps de fixer des nénuphars au niveau de l’écluse de la Chaussée.


Je me suis bien vite remis dans l’ambiance de mon coin.


Visorando

39,2 km parcourus - 2h23 de tps roulé - pour 447 m de D+.


 Prochaine sortie Mercredi AM. Plus de temps, donc certainement un peu plus de distance.
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RV(tt) - le 31 juillet 2017


Lacanau - Eté 2017 (suite)

Sortie VTT le 26 juillet :
Mercredi fut une triste journée. Dès 8h30, c’est la pluie qui va nous accompagner. Journée gâchée.

Cependant en fin d’AM, la pluie a cessé, on a donc voulu se dégourdir les jambes. Il est 17h30. Petite virée avec Christelle en direction du Sud.



 Toujours les pistes cyclables dans les pinèdes. 


 On tombera sur un passage sympa avec une montée en double lacet et quelques petites grimpettes à 5-6 %. 

Christelle joue à cache-cache avec les pins !

 On poussera jusqu’au-delà du lieu-dit le Gressier, sur la commune du Porge, avant de faire demi-tour et un détour vers un accès plage au Porge Océan. 
carrefour de la Cantine Nord



 Le final se fera par les double lacets et la piste cyclable qui passe dans la partie plus résidentielle de Lacanau Océan.

dans les lacets de Lacanau Sud
 Cette sortie de 33,3 km était une préparation de celle que j’allais effectuer Jeudi matin sur le même axe mais en poussant beaucoup plus loin.


Visorando



 Et donc, ce Jeudi matin, avec un temps encore un peu mitigé (nuageux mais doux), je pars rouler. Christelle, pendant ce temps, ira courir 45 mn.
Je vais reprendre quasiment le même parcours que la veille mais je vais largement l’allonger. En effet, je pousserai jusque sur le périmètre de la commune de Lège/Cap Ferret au Carrefour du Tailleur. Je n’étais plus très loin de la partie Nord du Bassin d’Arcachon.



 A savoir que la plupart des pistes cyclables sur lesquelles on a roulé font partie de la Vélodyssée. Une longue piste cyclable qui relie la Bretagne au Pays Basque et qui passe par le bassin d’Arcachon. Elle est clairement identifiée, avec des panneaux indicateurs : cartes, identification de carrefours. Parfois les pistes cyclables sont communes avec le chemin de St Jacques de Compostelle (qui passe aussi par ma région). Des potelets reconnaissables le rappelle régulièrement. On est sur le GR8.



 Je fais alors demi-tour, j’ai déjà plus de 28 km au compteur.
Au lieu de rester systématiquement sur la piste goudronnée et quand c’était possible, j’ai roulé sur les chemins forestiers réservés aux patrouilles ONF ou Incendie. C’est plus calme sinon on double ou on croise soit des joggers soit de nombreux cyclistes. Et en particulier des cyclistes itinérants avec l’équipement adéquate : toile de tente, duvet, etc.
 Ces routes forestières sont en grève, souvent tracées presque parallèles et non loin de la piste balisée. Dommage qu’elles n’étaient pas présentes plus souvent.


maison forestière du Lion et citerne DFCI
 Au niveau de la maison forestière du Lion, je vais prendre une partie de la boucle du Lion. Une variante sur de la piste bétonnée, comme lors de la première et deuxième sortie, avec aussi un peu de montées et de descentes. Cette dernière partie va être moins agréable, pas à cause du circuit proprement dit mais car la pluie va s’inviter sur ma fin de parcours. Au début, de la petite bruine, mais qui s’est rapidement transformée en crachin plus dense. Et moi, je vais me retrouver très vite détrempé. J’arrive enfin à notre location. La pluie n’a pas cessé. Je dégouline. Je viens d’effectuer 58,5 km en 2h27. Encore une belle moyenne !




https://www.relive.cc/view/1103777160



 Vendredi, réveil sous un beau soleil. Dernière journée à Lacanau avant de repartir le lendemain vers la Marne. En attendant de passer l’après-midi à la plage, nous allons faire, avec Christelle, une dernière sortie VTT dans les pinèdes.

 Je lui propose de reprendre notre sortie du Mercredi soir, rallongée avec la variante de la boucle partielle du Lion et en poussant un peu plus loin.

 On commence donc par cette boucle du Lion. On va la prolonger pour pousser presque jusqu’aux abords du Lac de Lacanau, à Longarisse. On fait demi-tour puis on reprendra plein Ouest pour arriver à la Maison Forestière du Lion. Cette boucle est située dans un secteur dunaire. Du coup, on a droit de nouveau à quelles grimpettes à 5-7 %. 



 Et à partir de là plein Sud. Il commence à faire chaud mais les pinèdes nous protègent du soleil qui devient ardent (on prendra 7° en 2h30).



 L'Océan n'est jamais très loin, une ligne de pins, une dune et les plages juste derrière.



 Dès que c’était possible, on a quitté la piste cyclable au profit du chemin forestier en grève. On entendait en permanence les cigales dans les pins maritimes.




Montez bien le son 



  On dépasse le secteur du Porge Océan. La piste cyclable est bien abîmée par les racines des pins qui ont soulevé et même fait sauter le goudron.



 On pousse jusqu’au carrefour de la Cheminée. Petite pause ravito. On a déjà effectué 27 km, il faut penser au retour.



 On reviendra par la même trace (y/c compris les pistes forestières), puis les lacets de Lacanau Sud.





 Il est Midi, on vient de faire 47,2 km en 2h37. On a fini nos sorties pour cette semaine de vacances. 


Visorando


Et nous terminerons notre séjour sur la plage de Carcans, avec un océan bien agité par de belles vagues.





 Nous aurons bien profité de cette semaine pour user nos pneus sur une partie des pistes cyclables qui maillent le Littoral.

 Christelle aura roulé plus de 130 km. Quant à moi, en ajoutant les 3,7 km journaliers pour aller chercher le pain tous les matins et mes 5 sorties, c’est 250 km que j’aurai cumulé. Plutôt profitable, donc !


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RV(tt) - le 31 juillet 2017

dimanche 30 juillet 2017

Lacanau - Eté 2017 (suite)

 Mardi 25 juillet a été consacré au Bassin d’Arcachon. Et principalement, d’abord à la découverte de la Dune du Pilat (la plus haute dune de sable d’Europe). Le ciel était couvert dans les terres mais plus ensoleillé côté Océan, mais heureusement les températures étaient bonnes.

 Il y a du monde sur le site (2 M de visiteurs / an). L’endroit intéresse. Ça monte fort pour arriver au sommet (111 m au point le plus haut). Un escalier démontable hors saison permet d’y grimper : 160 marches. 



 La pente est raide (30 à 40°). Le faire par le sable relève du défi.


 Certains s’y sont essayés, l’ascension a été longue.




 Une fois en haut, on se dégage rapidement du flot important de touristes, qui, pour la plupart ne s’éloignent pas vraiment du périmètre proche de l’escalier. Nous décidons de faire un peu les explorateurs. Nous avons par moment l'impression d'être seuls au monde, comme dans un désert.




 On a une vue sur la sortie du bassin d’Arcachon et surtout sur le banc d’Arguin et ses quelques parcs à huîtres



La dune fait presque 3 km de long pour plus de 600 m de large.



















 Nous allons descendre jusqu'à l’Océan avant de remonter vers le point le plus haut de la dune. 



vers le point le haut de la dune
 On passera plus de 2h les pieds dans le sable à profiter du panorama exceptionnel des lieux. Aussi bien côté pinède que du côté Océan.



 La 2° partie de la journée nous amènera à Cap Ferret et ses longues plages de sable fin. Nous voyons depuis notre emplacement la Dune du Pilat et nous pouvons alors apprécier son étendue.




 Grande balade au bord de l’eau et au milieu de qques blockhaus, vestiges du Mur de l’Atlantique. 





Là où ils sont correspond à la dune sur lesquels ils avaient été construits lors de la 2° guerre mondiale par les Allemands. 



 Le temps, le vent et les tempêtes ont sapé la dune qui était donc presque 800 m plus en avant il y a 70 ans. Le littoral bouge beaucoup et ça continue encore aujourd’hui. Il faudrait revenir sur place dans quelques années pour voir certainement de nouveaux changements.
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Hervé(tt) - le 30 juillet 2017