Jusqu'à Coole : avec trop trop de vent !

  Comme je n’avais pas pu rouler mercredi soir, je ne voulais pas rater ma sortie hebdo ce samedi après-midi (en solo, Stéphane n'étant pas là).

  Mais j’en ai bavé sur près de 30 km soit plus de la moitié de mon parcours, sur les parties montantes. Il fallait "un peu" de motivation !

  Quant à la météo, elle n’avait pas grand-chose à voir avec les prévisions. Ca aurait dû être soleil et 20°. Au final, le ciel restera très couvert, j’aurai même de la pluie en cours de route (heureusement juste un peu de bruine) et les T° ne passeront pas les 20° au soleil (il faisait 27° samedi dernier). Le soleil ne fera que de très rares apparitions. Un temps d'automne !!

  Là où la météo ne s’est pas trompée, c’était pour le vent : 25-30 km/h avec des rafales à plus de 50 km/h. Il me fera bien travailler les cuisses. Dans le nez, il était bien présent !!

  Je commence avec un bout de GR14 avant d’arriver au passage à niveau de Cheppes la Prairie. Je longe la voie ferrée puis ce sera le passage à niveau de St Martin aux Champs avant d’attaquer les premières côtes et le vent de face.

  Je dépasse le bois de la Pelle à la hauteur de Songy. Je passe au milieu du parc éolien juste après. Puis, au-dessus de Maisons en Champagne, je vais tomber sur une battue à proximité d’un bois. Heureusement, mon parcours va éviter la zone.

  Au loin le ciel n’est pas folichon, côté Vitry le François et au-delà, c’est très gris et dans la direction que je vais prendre pas mieux. Ca sent la pluie. J'ai constaté que les averses des derniers jours n'ont laissé que des flaques d'eau. Les chemins étaient secs mais plus poussiéreux.

  J’arrive ensuite à Maisons en Champagne. La commune est traversée par le Ruisseau de l’Etang. Étonnamment , il y a de l’eau qui y coule !!

  Je coupe puis je longe la RN4. Pas mal de circulation, surtout des camions. Ensuite je vais avancer en escalier, en restant quasi parallèle à la Nationale. C'est dans ce coin que la bruine s'invitera (mais pas longtemps).

  Peu d’activité dans les champs, à part de l’arrachage de betteraves. Il y a déjà des tas sur les espaces réservés le long des chemins. Je rencontrerai qques perdrix, 3 chevreuils et comme les semaines passées, plusieurs éperviers soit dans les champs soit en l’air. Il doit y avoir du campagnol à chasser !!

  J’arrive enfin à Coole et à partir de là, le vent me sera un peu plus favorable. Ca va me soulager les jambes. Je vais rester sur les chemins proches de la D4 et de la vallée de la Coole jusqu’à Coupetz.

  La dernière partie (après Coupetz) sera presque à 100 % avec le vent dans le dos. Et comme le profil était plutôt descendant, j’ai pu, enfin, faire grimper le compteur sans forcément appuyer fort sur les pédales (entre 40 et 50km/h). Ce n’était pas le cas jusqu’à Coole.

  Je ferai un break au passage à niveau de Togny aux Boeufs à cause d’un très long train porte-voitures (que des VW T-Cross tout neuf ).

  Et je ferai un nouveau break peu après, pour grattouiller le museau d’un cheval. Je rentrerai sur Pogny par les pâtures.

  Un parcours qui n’aura pas été de tout repos et qui ne m’aura pas épargné : vent+côtes+chemins en grève ou vent+côtes+chemins en herbe, à la longue, ça devenait usant ! Les derniers kms auront été plus sympa, mais malgré tout j’arriverai à la maison sans crampes.

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RV(tt) - le 28/09/2019

   

Jusqu'à Moivre, avec Stéphane et ...... beaucoup de vent !!

  Des fins d’été comme ça, j’en veux tous les week-ends. Au moins aussi chaud que la semaine dernière (si ce n’est plus) et grand ciel bleu. Le gros bémol sera le vent de Sud-Est qui soufflait parfois fort.

  Mais j’ai encore pu rouler en sans manche. Top !!! Avant de débuter le circuit, je fais une petite boucle d’échauffement en direction de l’Ouest, vers les pâtures en bas de mon village avant de récupérer Stéphane sur le chemin de halage non loin de Pogny.

  Nous allons nous diriger vers Moivre, cap Nord Est (Mothées, éoliennes du Mt de l'Arbre). Mais dès qu’on bifurquait dans le quadran du vent et en ajoutant les côtes, on savait qu’il était là.

peu de répit !!

  On passera presque au pied du silo de la commune du Fresne avant de prendre un peu de goudron pour entrer à Moivre. 

 Nous ferons une bonne pause chez la sœur de Stéphane. On en profitera d’ailleurs pour refaire le plein d’eau. Le niveau descendait vite car entre le vent et la chaleur, il faisait soif.

  Nous quittons le village par quelques belles grimpettes. Heureusement qu’on eu la chance de les faire avec le vent dans le dos sinon, comme ce fut le cas à l’aller, les jambes auraient fumé.

le village de Moivre en arrière-plan

secteur St Jean s/ Moivre

  Nous ferons s’envoler plusieurs compagnies de perdrix, un joli faisan et on verra gambader 2 chevreuils.

  On s’arrêtera pour une petite pause goûter dans le secteur de St Jean s/ Moivre avant d’aller récupérer le chemin blanc de la carrière Omya de St Jean jusqu’aux bois du Marsonnet.

Le sol est très poussiéreux (ça colle aux jambes) et la terre des champs aussi.

  Après avoir coupé la route Marson/Pogny, on remontera vers le stade de Marson et on sera ensuite sur le chemin parallèle à cette route pour revenir vers chez moi. Le vent, latéral, nous poussait vers la droite à la moindre rafale (à plus de 40 km/h).

  On finit par une descente qui nous amènera à la pisciculture. Mais avec le vent (toujours costaud), il fallait appuyer sur les pédales, sinon, on aurait pu reculer !!!

  J’abandonnerai Stéphane au bout de ma rue. Il finira son parcours par le canal. On en avait un peu plein les pattes !

  Dernière sortie estivale, puisque Lundi on va attaquer l’automne. Il faut juste espérer d’avoir encore des samedis sympa comme aujourd’hui (certainement pas aussi chaud) pour continuer de rouler avant que je n’arrête ma saison.

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RV(tt) - le 21-09-2019

   

Retour boulot : parcours un peu plombé par le vent !

   Encore un mercredi avec un temps qui m'aura permis de rentrer du travail à la maison en VTT.

  Cependant, en comparant avec la semaine dernière, même si le soleil brillait, que le ciel était bleu et que les températures restaient plutôt correctes, le vent soufflait assez fort du NE. Ce qui va me plomber trop souvent cette sortie.

 

Le tracé de mon parcours fera que je me retrouverai très régulièrement avec le vent de face. Alors, quand en plus les chemins étaient en côtes …..

  Mon départ sera assez commun au tracé de la semaine passée, sauf que je vais traverser la route Châlons/Marson au-dessus de Longevas, puis celle de Chepy avant d'arriver dans les parages de la grande carrière Omya. J'ai eu droit une belle descente assez rapide qui permet de remonter sans pédaler ensuite. Ca n'arrive pas souvent. La plupart de celles-ci furent passées à des vitesses supérieures à 45 voire 50 km/h, mais pas lorsque j'avais le vent de face.

quand le vent souffle, la fumée est proche du sol

  Je vais grimper au bout des bois du Marsonnet, descendre sur Francheville avant de repartir jusqu'à Dampierre et couper la vallée de la Moivre.

  Ca va m'amener bien en arrière des Mothées, un peu dans le coin où j'avais crevé la semaine passée. J'avais le vent de travers et dans les descentes, je le sentais qui me poussait vers la gauche. Les rafales étaient bien présentes. Je n'aurai que trop peu goûté le plaisir du vent dans le dos. Je vais finir mon parcours en coupant le chemin des Mothées et par la pisciculture. Une dernière côte (le long de la RN44) et la maison était en vue.

  Heureusement que les T° étaient agréables malgré le vent qui les aura un peu modérées, car toutes les parties vent de face (et montantes) m'auront fait chauffer les jambes. Malgré tout, j'ai pu tenir un bon rythme.

  On voit que les journées raccourcissent peu à peu, car le soleil était plus bas sur l'horizon que mercredi dernier, les ombres sont plus longues mais la lumière dans la campagne était belle sous un grand soleil avec juste parfois quelques cirrus très hauts dans le ciel bien bleu.

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RV(tt) - le 19-09-2019

   

Avec Stéphane : ça bossait dans les vignes du Perthois

  Il y a des coins où j’aime bien revenir lors de mes sorties VTT, comme ce samedi AM dans le vignoble du Perthois.

  Je ne vais pas faire le déplacement tout seul, puisque je récupérerai au passage Stéphane à Omey.

  On ne pouvait pas rêver d’une meilleure météo : chaud, ciel bleu, même s’il y avait du vent soufflant de l’Est. Ce vent, on l’aura plutôt défavorable, jusqu’à St Lumier en Champagne qu’on ralliera via le GR14. Heureusement cette partie ne comportait pas trop de montées (ça compensera).

  Ca va changer à partir de là puisqu’on allait arriver dans le vignoble du Perthois. Ca va commencer, dès le km 16. On va grimper pour longer la partie haute des vignes de St Lumier. Les vendangeurs étaient à l’ouvrage.

  On quitte le secteur de St Lumier pour arriver au-dessus de celui de Bassuet près duquel on va rester un peu. Ca monte bien par endroit. On passera aussi des descentes courtes et rapides. Là aussi, il y avait du monde à la cueillette.

 Il était temps de penser à revenir sur nos villages et nous quitterons alors le vignoble de Bassuet . On va de nouveau grimper, passer la ligne de crête puis filer vers Lisse en Champagne. Quand on est arrivés sur les hauteurs, il a fait d’un coup bien plus chaud car on avait le vent dans le dos. A partir de là, l’orientation du vent nous sera plus favorable.

  Là aussi il y a des vignes et toujours des vendangeurs qui s’affairaient. On a souvent dit "Bonjour" à ceux qui travaillaient en bord de chemin. Avant d’attaquer la dernière partie de vignes de Lisse, nous allons faire une pause pour compléter les bidons (déjà bien vidés). J’aurai bu l’équivalent de 3 grands bidons (plus de 2,2 litres) sur cette sortie (le vent + la chaleur).

  En arrière des vignes de Lisse, on va monter raide (12-13%) pour arriver au pied d’une grande antenne. On traversera ensuite la ligne d’éoliennes de St Amand. 

  Etape suivante : la Cense des Prés. Pour entrer dans le village, on va se faire une descente très rapide (maxi 60,4 km/h). Mes oreilles sifflaient au vent !!!!

  On ne rentrera pas ensuite dans le bois du Ru mais on roulera sur le chemin qui rejoint le bout du vallon de la Come Michault (lieu-dit la Pelle). On y fera, à l’ombre, notre pause goûter.

  Puis, on coupera le chemin la Chaussée/Mentarah avant de se retrouver au milieu des éoliennes de la Côte de l’Arbre Lettrée. Nouvelle grosse descente dans ce secteur, où le compteur va indiquer une vitesse supérieure à la descente de la Cense des Près (61,3 km/h). Moment grisant !!

  On va revenir sur Omey par le chemin au-dessus des Malandaux. Nouvelle descente, encore à vitesse élevée (57km/h). Quand on peut, pourquoi se gêner !!!

  J’abandonnerai Stéphane près de chez lui et je finirai cette sortie par le chemin de halage, comme à l’aller.

 Quel plaisir de rouler avec d’aussi bonnes conditions météo une mi-septembre. C'était peut-être la dernière fois de la saison que je pouvais porter un maillot sans manche ! Un après-midi passé aussi à papoter avec Stéphane. Genre de sortie bien sympa à faire à deux !!

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RV(tt) - le 14/09/2019