Corsaire et veste doublée n'étaient pas de trop. En plus, pendant une bonne dizaine de km, j’aurai ce vent de face. Pour cette première de l’année, j’étais servi.
En y ajoutant certains chemins dans un piteux état à cause des marques de roues de tracteur ou des restes de terre sur ceux-ci en bout de champ et parfois de boue, il fallait parfois bien appuyer sur les pédales (plus les côtes ….. ).
Donc,
j’ai commencé mon parcours en prenant la direction des Mothées.
Je contournerai le massif puis je garderai un Cap Est avant de
descendre sur Dampierre sur Moivre. La rivière a un bon débit. Je
me suis arrêté juste avant la sortie du village pour prendre le
temps de regarder dans un parc un jument accompagnée de son poulain.
Il n’était pas vieux. Il a passé du temps à téter et il a fallu
que j’attende un peu pour qu’il lâche sa mère.
Ensuite,
je vais quitter la vallée de la Moivre pour arriver à celle du
Marsonnet. Deux chevreuils ont traversé le chemin non loin devant
moi. En arrivant en bas à droite du bois, j’ai constaté un
phénomène que je n’avais pas vu depuis que je suis à Pogny
(1998) et que je fais du VTT dans le secteur. L’ancien lit du
Marsonnet était rempli d’eau. Je suppose qu’à une époque
ancienne, comme le cours d’eau ne devait plus couler, tout ce
secteur avait été comblé au profit de champs de cultures. Mais
avec les pluies importantes de cet hiver, l’eau est revenue, et
elle coulait bien. La mémoire de la nature.... J’en ai profité pour immortaliser tout cela.
Quelqu’un avait même installé un petit moulin à la sortie de la buse qui passe sous le chemin. Si les buses ont été installées, c'est qu'un passage d'eau était toujours possible. La preuve cette année ! J’ai repris ensuite de la hauteur pour aller chercher les carrières Omya. J’ai traversé le chemin d’accès à l’une des 2 carrières. Le sol était recouvert d’une soupe de craie. Il valait mieux passer au ralenti sinon, j’aurai pu rentrer crépi. Une fois à la 2e carrière je vais redescendre vers Vésigneul, avant de passer sous le pont de la RN44 et de rentrer par la route qui longe la Nationale puis la bretelle de sortie Pogny.
Quelqu’un avait même installé un petit moulin à la sortie de la buse qui passe sous le chemin. Si les buses ont été installées, c'est qu'un passage d'eau était toujours possible. La preuve cette année ! J’ai repris ensuite de la hauteur pour aller chercher les carrières Omya. J’ai traversé le chemin d’accès à l’une des 2 carrières. Le sol était recouvert d’une soupe de craie. Il valait mieux passer au ralenti sinon, j’aurai pu rentrer crépi. Une fois à la 2e carrière je vais redescendre vers Vésigneul, avant de passer sous le pont de la RN44 et de rentrer par la route qui longe la Nationale puis la bretelle de sortie Pogny.
Je
sentais que ma bonne séance à Basic Fit de ce matin m’avait un
peu tiré dans les réserves. Peut-être éviter de cumuler les 2 (muscu et VTT) car
les bras et les jambes étaient sensibles.
J’étais content d’avoir pu prendre l’air, de profiter de ce bel après-midi. Mes premières sorties sont toujours une remise en route progressive. Les prochaines me permettront certainement de me sentir mieux, surtout au niveau du cardio (il faut pour cela que les T° montent bien et que le fond de l’air soit un peu moins frais pour ne pas être gêné au niveau de la respiration afin d'éviter de faire monter le coeur). Il me reste peut-être aussi les restes de ma grippe de début mars.
Mais encore un peu de patience avant d’aller tâter du single.
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RV(tt) - le 25 mars 2018
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