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remboursez !!!
Je
m’attendais à au moins 10°, du soleil. J’en fus loin :
thermomètre entre 6 et 7° (moitié moins que samedi dernier), ciel bas, vent d’Est. Temps qui
annonce ce qui nous attend la semaine prochaine : les prémices
de l’hiver. Du coup, il a fallu adapter sa tenue en conséquence :
plutôt bien couvert !
Sortie
en trio ce samedi après-midi : Stéphane, à qui j’ai proposé
cette semaine la sortie du jour et Eric qui m’avait contacté ce
matin. Je n’avais pas roulé avec lui depuis …. la Bik’ Saulx,
en Juin.
Eric
m’a retrouvé à la maison et on a rejoint Stéphane au pont du
canal (avec son SR 27,5).
Direction
les Mothées. On a vu que la nouvelle éolienne commençait à être
montée. On a contourné le massif pour passer sur le côté gauche
des Vaux-Parfonds, abrités du vent, car on l’aura de face sur les
20 premiers km, alors autant profiter quand on pouvait s’abriter un
peu.
Puis
la lisière haute du Trou des Loups avant de rejoindre la ligne
d’éoliennes des Quatre Chemins (en coupant par un champ de luzerne fauché). Ensuite, un bout du chemin de
Bronne pour contourner les éoliennes situées derrière la
ferme des 4 Chemins, via la première belle bosse (> 12%). A partir de là, vent dans le dos, car on en avait un peu marre de prendre le vent dans le nez. L’objectif, sur la demande de Stéphane, faire décoller les VTT
sur les talus des 2 premières éoliennes (et un peu à la 3e). .
Mission accomplie pour nous 3. Perso, je ne me souviens pas d’avoir
fait un tel saut lors de passages d’autres fois. C’était génial.
On est donc revenus sur la Ferme des Quatre Chemins, ensuite un bout
de bitume vers la Cense des Prés (2 chevreuils se trouvaient au loin
dans un champ) avant de descendre dans le fond du Vallon de
Teignières. La descente est très raide et à mi-pente on peut
lâcher les freins. Terrible !
On
se regroupe en bas, aussi pour apprécier le calme de l’endroit, à
l’abri du vent.
Puis il a fallu sortir du vallon. Pas le choix, ça
grimpe bien (700 m, D+ : 56m), jusqu'à 10%..
On se retrouve alors de nouveau sur la route de la Cense des Prés qu’on va couper, pour nous diriger, cette fois, vers le bois du Toit d’Orval.
Après une belle
descente, aussitôt on monte dans le bois (on prend plus de 10 m sur
à peine 150m (en commençant par un bout à 20%) .
Eric s’est fait
piéger : pas le bon développement, pied à terre. Stéphane a
eu un peu peur, il a préféré pousser. Ensuite, on est dans le bois
avec des branches qui sont venues souvent nous fouetter le visage.
Pas top !
On se retrouve alors de nouveau sur la route de la Cense des Prés qu’on va couper, pour nous diriger, cette fois, vers le bois du Toit d’Orval.
le bois du Toit d'Orval |
![]() |
descente vers le Toit d'Orval |
En
sortant, on retraverse la route pour arriver sur la Cense des Prés
du côté des élevages de volailles. Ensuite, on a rejoint le bois
du Ru de Coulvagny. Le ruisseau ne coule plus sur sa partie amont, la
trace est toute recouverte de feuilles, du coup, ça roulait bien
sans glissade.
On fera un break à l’entrée du village. Je commençais à ressentir le froid dans les pieds (pas très agréable), problème circulatoire que je connais quand les températures deviennent inférieures à 10° (il faisait à peine 6,5 à ce moment).
Le temps que je récupère un peu de sensations,
on se remet en route. On reste sur le goudron pour aller vers la
RN44, la montée est longue (2km).
Avec le temps très couvert, on s’aperçoit qu’il commence à
faire nuit, les voitures ont toutes les feux allumés. Il est temps
de revenir chez nous. Ensuite en longera la Nationale jusqu’à la
route d’Aulnay l’Aitre. Descente vers Ablancourt, en passant par
le Château d’eau, puis le chemin de halage jusqu’au pont de la
Chaussée. On traverse le village puis de nouveau le chemin de
halage. Stéphane nous quitte au pont d’Omey. Il nous dit qu’il
va bien dormir ce soir. Faut dire qu’on avait fait pas mal de bornes. Eric et
moi arrivons à la maison, il fait déjà sombre. Mais entre les pauses
et la distance, le temps passe très vite.
![]() |
dans le bois du Rû |
On fera un break à l’entrée du village. Je commençais à ressentir le froid dans les pieds (pas très agréable), problème circulatoire que je connais quand les températures deviennent inférieures à 10° (il faisait à peine 6,5 à ce moment).
![]() |
arrivée à Coulvagny |
Le
GPS annonce 48,65 km, 3h20 de temps roulé pour 501 m de D+. Un bon
parcours, en quelque sorte. J’ai fait découvrir à Stéphane des
endroits qu’il ne connaissait pas. Même s’il avait son compte,
il a pu profiter de certaines descentes et quant aux montées, Eric
ou moi, on n’a pas hésité à venir le récupérer dans certaines
grimpettes (je sais ce que c’est, je suis passé par là et j’étais
bien content que certains refassent l’effort avec moi, même si ça
n’a pas toujours été le cas et pourtant je n’ai jamais freiné
dans les montées).
A priori, il est fort probable que je range (provisoirement) le VTT car les températures qui nous attendent vont m’inciter à pédaler au chaud devant un film. Aujourd’hui, j’étais pourtant bien équipé, mais entre les doigts (sur une partie du parcours malgré de bons gants) et surtout les pieds qui sont restés très sensibles après mon retour, je vais donc me ménager.
A priori, il est fort probable que je range (provisoirement) le VTT car les températures qui nous attendent vont m’inciter à pédaler au chaud devant un film. Aujourd’hui, j’étais pourtant bien équipé, mais entre les doigts (sur une partie du parcours malgré de bons gants) et surtout les pieds qui sont restés très sensibles après mon retour, je vais donc me ménager.
Et
même si l’année n’est pas terminée, j’aurais déjà
parcourus plus de 3100 km en 2014 !!
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