J’ai
profité qu’il faisait bon aujourd’hui pour me faire une nouvelle
sortie (ça ne sera pas tous les jours comme ça, car y’en a une
qui sait comment m’occuper pendant mes vacances ! LOL).
Quand
on parle des signes distinctifs du Printemps, on pense :
bourgeons qui s’ouvrent, petits oiseaux qui chantent, jonquilles,
coucous, etc … Eh bien, dans la Marne, il faut aussi rajouter la
grève. Explication : chez nous, les champs céréaliers ont de
belles surfaces et sont desservis par des chemins de grand gabarit,
tracés en craie qu’on trouve partout dans le sous-sol. Et donc au
Printemps, les agriculteurs rechargent les chemins en grève qui ont
souffert de l’hiver (les chemins pas les agriculteurs, quoi que, je
ne sais pas). Et la grève, quand elle n’est pas compactée, c’est
horrible sous les pneus des VTT qui naviguent un peu n’importe
comment. C’est ce que j’ai vécu plusieurs fois cet après-midi.
un peu de descente, mais
surtout du vent.
Ben oui, dans la Marne, les jours sans vent (comme
hier) se comptent presque sur les doigts des 2 mains. Ca m’a un peu
cassé les pattes sur presque la moitié de mon parcours.
Il
faisait moins chaud qu’hier (moyenne 17° quand même), mais bien
agréable malgré tout.
J’ai
repris une partie du parcours de ce mercredi sur les 12 premiers km
puis j’ai bifurqué pour me rapprocher de la RN4, les éoliennes de
Coole étaient à moins d’1 km.
Je suis passé près de la ferme de la Noue Chaudière, puis j’ai rejoint les arrières de Maisons en Champagne (par le château d'eau). Ensuite, à l’entrée de Loisy, j’ai longé la voie ferrée qui dessert l’usine Calcia de Couvrot, et je suis entré dans le single des étangs de Loisy. Le sol était très sec. Un vrai bonheur ! Je me suis ré.ga.lé.
Une
mini pause au pont du canal devant l’usine puis du chemin de halage
jusqu’à Albancourt.
En chemin, il y a, sur
la rive opposée, la ruine d’une ancienne usine (de craie ? ).
Ça m’a toujours impressionné !
Je suis un peu monté sur les hauteurs pour
retrouver le chemin qui arrive en face du single de la Garenne que
j’ai emprunté. Là aussi très plaisant sur un sol sec. A la
Chaussée, j’ai pris la direction des éoliennes (ça monte !
). Grande descente à gauche des Malandaux avec une pointe à 55
km/h. Si je n’avais pas eu de casque et des cheveux, j’aurais été
certainement ébouriffé !
Enfin,
je suis rentré à la maison. Avec le vent, je pense que j’avais ma
dose. Mais bon, c’était quand même une belle ballade, avec le
chant des oiseaux dans les singles, les narines qui me chatouillaient avec les peupliers odorants à certains endroits et la
végétation qui explose ! Le Printemps, quoi !
At Home ! Mon Spé et moi ;-) |
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RV(tt) - le 18 avril 2013
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