Après
ma rando meusienne de Dimanche, je suis allé éliminer les toxines
de cette rando ce mardi soir en retrouvant "mes terres" 😉.
Il
faisait chaud pour une mi-mai (le thermomètre dépassera les 30° lors de mes pauses) mais je suis plus à
l’aise pour rouler par ces températures. En plus, toutes les
éoliennes étaient à l’arrêt, et donc à peine un souffle d’air (sauf
dans les descentes 😃 ). J’ai adopté une tenue light
(maillot sans manche). 👍
Je
passe la vallée de la Guenelle, traverse Cheppes la Prairie, puis
j’irai frôler le Mont Crapaud [1]. Je coupe le bois de la Pelle [2] puis
la route Songy/Coole. J’arrive sur un autre point dominant du
secteur, au milieu du nouveau parc éolien de l’Orme-Champagne [3].
Soulanges, à l'Est, où je dois me rendre, est encore loin.
A l’Ouest, comme le ciel est fort dégagé et le vent nul, je vois
sur la ligne d’horizon le nuage qui s’échappe des tours de
refroidissement de la centrale nucléaire de Nogent s/ Seine.
J’attaque une longue descente bien grèvée et pas toujours
stabilisée en direction de Pringy. Après un arrêt au passage à
niveau pour laisser passer un TER, je repasse au-dessus de la
Guenelle, avant d’arriver le long de la casse de camions du
Plaidoyer [4] à Soulanges.
Je
décide d’aller chercher la longue montée qui passe derrière le
lotissement du village [5] puis de continuer vers le Mont Jouy [6] qui domine
tout le secteur duquel je venais et vers la direction que j’allais
prendre : le Vallon de Bel-Air [7].
Il fait toujours aussi chaud,
mais ça ne ne gêne pas. Je profite de la vue pour faire une petite
pause ravito, l’eau de mon bidon ne me désaltère pas trop, elle a
chauffé, le goût du Pulco chaud n’est pas terrible 😒 ! Mais il
faut que je m’hydrate.
Je
vais arriver au-dessus du Vallon de Bel-Air par une montée "qui
pique" (8 à 12% 💪), suivie d’une descente courte et rapide 😍.
Gros freinage en bas (à plus de 50 km/h) pour ne pas finir dans le champ en face.
J’arrive
le long de la RN44 puis je reprendrai les chemins au milieu des
champs. J’ai fait s’envoler de nombreux couples de perdrix qui
décollaient en cacabant (c’est le terme) et dans la poussière car
les sols sont déjà redevenus bien secs.
Je
vais piquer sur ma droite pour descendre le long de la Nationale et
arriver au Moulin de la Chaussée. Passage derrière le village, puis
au-dessus de la RN44, puis une nouvelle descente pour arriver au pont
sous la route à Omey. Je traverse le village et je vais finir mon
parcours par le chemin de halage jusqu'à l'entrée de Pogny.
En
résumé, ça donne :
-
36,5 km parcourus
-
2h01 de temps roulé
Ce
mardi soir, c’était déjà l’été, et j’aurai fait une belle
sortie.
--------
Rv(tt) - le 17 mai 2017
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