En effet, un fort vent de Sud-Est va bien me faire chauffer les jambes sur plus de la moitié de la distance de ma sortie. Alors je ne vous dis pas lorsque je grimpais sur des chemins bien dégradés. J’étais content lorsque je roulais sur des chemins agricoles de craie. J’en aurai trop peu sur cette sortie.
Il
faisait doux, mais j’avais préféré ne pas trop me découvrir :
corsaire, maillot manches courtes et manchettes ainsi qu’un gilet
sans-manche demi-saison. On est que début Avril, il ne faut pas
l’oublier.
Pour quitter la ville de Châlons, j’ai
remonté les bois du Bauchet. Le ruisseau est
en eau dans la partie bois mais aussi en amont du bois. Là où
habituellement il n’y a qu'un fossé à sec la plupart du temps, le
cours d’eau l’a plus que rempli et s’étale dans le pré à
côté. Encore un endroit que je n’avais pas vu en eau.
Pour
rentrer à la maison, je vais, hélas, devoir suivre un cap S-E et il
y a des moments où le compteur avait du mal à dépasser les 12
km/h. Dans les quelques descentes, il grattait tout juste les 20
km/h, même en appuyant sur les pédales. Parfois, les chemins
avaient des flaques d’eau plus ou moins larges, il fallait donc en
plus ajuster la trajectoire. Je laisse le village de l'Epine sur ma gauche. J'aperçois un groupe de 6 chevreuils dans un champ labouré puis je traverse la route de Courtisols/Marson.
J’arrive ensuite dans le secteur des bois des Champs St Julien, puis je change de direction, je vais vers l’Ouest. Quelle délivrance, ça descend un peu mais le pédalage devient d’un coup facile, le compteur passe allègrement les 40 km/h (vitesse max > 50 km/h ! ). Ca durera un peu plus de 2 km avant de revenir sur un cap Est/Sud-Est et de nouveau avec un vent défavorable. J’étais dans le secteur de la carrière Omya de St Jean s/Moivre. Je reprends un cap à l’Ouest par le chemin principal de la carrière qui finit à la route de Marson (vent presque dans le dos). Puis je passe au-dessus des bois du Marsonnet, avant de descendre vers Francheville.
en rouge les parties avec vent défavorable |
J’arrive ensuite dans le secteur des bois des Champs St Julien, puis je change de direction, je vais vers l’Ouest. Quelle délivrance, ça descend un peu mais le pédalage devient d’un coup facile, le compteur passe allègrement les 40 km/h (vitesse max > 50 km/h ! ). Ca durera un peu plus de 2 km avant de revenir sur un cap Est/Sud-Est et de nouveau avec un vent défavorable. J’étais dans le secteur de la carrière Omya de St Jean s/Moivre. Je reprends un cap à l’Ouest par le chemin principal de la carrière qui finit à la route de Marson (vent presque dans le dos). Puis je passe au-dessus des bois du Marsonnet, avant de descendre vers Francheville.
Marson |
J’ai un peu, sur certaines portions, le vent dans le dos, avant d’arriver au niveau du massif des Mothées et je vais faire les derniers kms qui me ramènent chez moi par de la descente.
Les
jambes tiraient en arrivant à la maison. J’avais aussi mal dans les
épaules et les bras à cause des chemins par endroit très abîmés.
Il était temps que je rentre. J’en avais un peu marre de ce vent
de face. Mais pour revenir à la maison, je n’avais pas le choix.
C’était pénible pour pédaler et en plus du bruit incessant dans
les oreilles, ça devenait usant. Type de sortie où il faut une
bonne motivation pour aller rouler.
Expérience
que j’espère ne pas renouveler trop souvent. 2018 sera t’elle une
année à vent ?
A
voir les prochains mois ….
RV(tt) - le 7 avril 2018
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