En
congés durant la 2e semaine de vacances scolaires, j’attendais
avec impatience la fin de la semaine pour savoir si j’allais pouvoir
rouler.

Inconnue :
l’état des chemins. J’y reviendrai. Pas l’intention de faire
des folies par rapport à mon parcours sachant que je démarre ma saison. On va y aller tranquille.
Direction
Vésigneul par la route goudronnée le long de la RN44, passage sous
le pont de la Nationale puis en point de mire Marson. Je prendrai le
chemin derrière le village, traverserai la route de Longevas, ensuite la
déshy route de Courtisols (que je couperai) avant de m’orienter
vers la carrière de St Jean sur Moivre.
la carrière des Cugnots Triboulot |
Jusque là, dans l’ensemble,
les chemins étaient étonnement propres, humides juste aux
croisements, mais je restais propre. C’est en me retrouvant sur le
chemin qui longe la carrière que les gelées nocturnes avaient
laissé des traces. La couche supérieure de craie avait fondu et a
collé aux pneus. Le VTT fut bien crépi et moi plus que moucheté.
Impossible de trouver une trajectoire propre, c’est tout le chemin
qui était collant. Pourquoi celui-là et pas les autres ?
Mystère. L’exposition (abritée ou pas) était la même que
d’autres secteurs. Alors ….
Baptisé mon VTT ! |
Une
fois dépassée la carrière, je suis arrivé à St Jean sur Moivre
par du goudron (pour débourrer les pneus) et une fois le village
traversé, j’ai pris la direction des champs éoliens de la Moivre.
Dans le champ à gauche du chemin sur lequel je roulais, il y avait
plusieurs chevreuils qui se reposaient (sauf un, celui qui était de
garde).
Je passerai au milieu des éoliennes pour me retrouver sur
les arrières de la Sapinière de l’Arbre Macabe aux Mothées, avec
un léger vent de face. Pause ravito dans le silence de la nature
juste troublé par le chant de quelques oiseaux. Comme la période de
la chasse est désormais terminée, les singles des Mothées sont de nouveau accessibles. Je suis donc rentré dans le
single de la Sapinière. J’ai eu parfois du mal à reconnaître la
trace. Beaucoup d’aiguilles de pin mais surtout la mousse qui a
bien envahi les lieux, signe que la basse saison a été plutôt
humide. L’odeur de l’humus était assez perfectible et comme
d’habitude il y faisait très frais. Une fois sorti de là, je me
suis dirigé vers le Bois des Renards. Je suis tombé sur une
bifurcation du single qui longe la lisière du Bois et qui est une
variante de la trace initiale.
A priori pas beaucoup de marques de
pneus et le sol est encore frais. Elle se termine par une longue
descente taillée dans le dévers du talus et entre dans le bois
suivant où se trouve le single des Ruches. Je ne sais pas s’il sera
bon de prendre cette trace lorsque les abeilles seront en activité,
comme on passe vraiment tout près d’un des ruches, il se pourrait
qu’elles se trouvent dérangées (pas à l’abri des piqûres non
plus). L’apiculteur ne sera peut-être pas trop d’accord.
J’ai
quitté le spot pour redescendre sur Pogny par le chemin principal
des Mothées. Il a fallu faire un bon nettoyage du VTT une fois à la
maison.
Bilan
de cette sortie : pour mon nouveau VTT je confirme que le
comportement semble assez similaire à l’ancien. Dans les singles,
je verrais un peu plus tard dans la saison, même si je ne sens pas
vraiment de différence pour l’instant avec le format 27,5".
Physiquement, pour moi, ça a été, il me manquait peut-être 3-4°
de plus pour être un peu plus à l’aise.
J’aurais
roulé 34,40 km pour 2h de parcours, un petit peu de D+ : 311 m
et des sols dans l’ensemble corrects (ou presque).
En principe je remet çà demain samedi AM et mais aussi dimanche AM, pour un parcours avec Christelle (comme l'an dernier) le long du canal, au départ de Tours sur Marne.
ps : Stéphane si tu lis cet article et si tu veux m'accompagner samedi, contacte-moi via mon blog (impossible de te contacter par le Forum vtt51)
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