
Comme
c’était une remise en jambes (même si, dans mon cas, les jambes
ont tourné sur un vélo d’appartement depuis début décembre
2014), on a décidé, Christelle et moi de faire du foncier et
essentiellement du chemin de halage jusqu’à Châlons. C’était
la toute première fois qu’on faisait du VTT ensemble cette année
et toute première fois que j’allais, enfin, essayer mon nouveau
Haibike. Et Christelle contente de récupérer le Spécialized.
Je ferais une incursion dans le single St
Germain-Chepy, histoire de voir le comportement du 27,5" dans un
single. Les impressions sont à priori les mêmes qu’avec le
précédent (en 26"), aussi maniable, les reprises sont
peut-être un peu moins franches à cause des roues en 650 (et de
gros pneus, le Haibike est un Enduro) mais aussi les 1,5 kg de poids
supplémentaire par rapport à l’ancien. Mais ce que j’ai surtout
constaté c’est que, même si les jambes allaient bien, je n’ai
pas encore "la caisse" pour être efficace dans les
singles. Mieux vaut, pour l’instant, que je m’en tienne à faire
essentiellement du foncier. Mais on ne rattrape pas 3 mois d’arrêt
de VTT et de technique en une seule sortie. Ça viendra, mais je
prendrais mon temps. Par contre, lorsque les roues en 650B sont mises
en branle, l’inertie fait que le compteur monte vite, une évidence
sur les portions lisses. Le single était plutôt correct avec assez
peu de passages gras.
Ma nouvelle tenue. Au final le gris est argenté |
Ensuite,
on poussera jusqu’au Jard à Châlons où nous ferons une pause sur
un banc. Après avoir traversé le pont de l’Hémicycle, on passera
sur l’autre rive du canal puis nous traverserons une partie du
quartier du Verbeau et celui des Grévières. On empruntera la
piste cyclable pour aller à Sarry. Ensuite, de nouveau le canal jusqu’à St
Germain et le final par la RD pour rentrer à la maison, avec un vent
plus favorable.
Pour
cette première, on aura fait 32,20 km. Christelle était un peu
cuite au retour. Pour ma part, j’avais fait 2 séances de vélo
d’appartement ces dernières 48h, j’étais donc chaud.
Ça a
fait du bien de pouvoir rouler nez au vent, sans froid, sans pluie
mais pas sans vent aujourd’hui. On ne peut pas tout avoir !
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RV(tt)- le 1er mars 2015
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