Comme
les coureurs du Tour de France, Lundi était ma journée de repos.
Pas de VTT. Mais ce Mardi matin, après le petit déjeuner, je suis
parti rouler.
Les
températures évolueront crescendo tout au long de la matinée.
Départ à presque 23° et ça plafonnera au-delà des 32°. J’ai
même eu une pointe à 34° lors de ma pause ravito.
En
plus de la chaleur, j’ai subi pendant près de 20 km un vent d’Est
assez soutenu. En y ajoutant les côtes, les chemins en herbe ou en
grève (souvent alors associés aux côtes), Mon début de parcours
m’a plus que bien mis en jambes. Et
bien sûr, je suis parti vers l’Est. Pourquoi faire simple ……
Après
avoir contourné les Mothées, j’ai rejoint le chemin de Mentarah.
J’ai surpris une biche à qques mètres de moi, qui broutait
derrière un buisson. Je passerai devant la ferme de Mentarah avant de me diriger
vers la ligne d’éoliennes des 4 Chemins. Je suis passé par le
chemin bordé par la droite d’une ligne de sapins, ça m’a, en
partie, protégé du vent. Je voyais le hameau de Bronne et la ferme
de Sans-Souci depuis le point haut.
Je
laisse derrière moi la ferme des 4 Chemins pour passer au milieu du
parc éolien de Vanault le Châtel.
Dès la ferme et pendant un
moment, ça monte et vent de face. Le GPS avait du mal à dépasser
les 10 km/h ! J’apercevais les vignes du Perthois et la
commune de Bassuet et au loin face à moi, la ferme de la Motte
Heriton.
Je
pousse jusqu’au bout de la ligne d’éoliennes de Vanault sur le
chemin de la Serre. Je me décide de prendre un chemin descendant
vers les bois de Jean de Moivre. Chemin en cul de sac. Demi-tour, ça
monte, dans l’herbe, et en plus j’ai encore le vent de face.
Mais
je change de direction. Je suis sur le chemin des Soldats (qui permet
de rallier le Fresne). J’ai enfin le vent dans le dos. Après 20
bornes, j’avais assez donné ! Je me suis fait plaisir sur
plusieurs belles descentes sur lesquelles j’ai lâché les Watts, à plus
de 50 km/h. Toujours aussi grisant !
Visorando
Je
vais alors longer depuis les hauteurs, la Vallée de la Moivre, au milieu
des éoliennes de la Moivre. Il fait chaud et soif. Mes réserves
d’eau ont vite baissé. Une poche avec 2 litres d’eau n’aurait
pas été superflue ce matin. Et le thermomètre qui continuait de
grimper. Je fais une petite pause. Puis je repars. J’ai eu un peu le
vent de face qui m’a rafraîchi le temps d’y penser ! Etonné cette année de ne pas avoir subi les piqûres de taons. Habituellement à cette saison, ils sont souvent présents, mais je n'aurais été piqué qu'une fois lors d'un retour de mon travail en vélo. Je ne vais pas m'en plaindre.
En
plus du vent dans le dos, je sentais aussi le soleil qui tapait.
J’arrive à l’usine de déshy de luzerne de Francheville et je
ferai les derniers km pour rejoindre la maison par les bois de
Moivre. Moi qui pensait y trouver de la fraîcheur avec la rivière,
bah, peine perdue ! Le thermomètre n’est descendu que d’1° !
Je n’ai donc pas senti de différence.
oui, ça a bien grimpé ! |
Bon
parcours quand même. Encore un qui a bien sollicité les jambes. Ca
tirait dans les mollets au moment de la douche !
- 46,8
km
- 2h47
de tps roulé
- 542
m de D+.
J’envisage de remettre ça Jeudi
matin, sur une sortie plus orientée singles, avant d’aller
arpenter les pistes cyclables dans les pinèdes de Lacanau la semaine
prochaine.
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RV(tt) - le 18 juillet 2017
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